Assumer ses responsabilités, l’erreur n’est pas une fatalité

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La dernière fois que vous avez renversé quelque chose vous avez réagi comment ? Vous avez pris l’éponge pour nettoyer ou est-ce que vous avez cherché qui a posé le récipient à cet endroit ? Ou encore, avez-vous choisi de critiquer la stabilité du récipient ? C’est quand la dernière fois que vous avez pleinement assumé la responsabilité d’une erreur ? Sans chercher à vous justifier, expliquer ou partager partiellement la faute ?

Pourquoi on refuse la culpabilité ?

Que ce soit un accident, ou une erreur, le réflexe commun est de se défendre. En cherchant une faute ailleurs qui justifierait notre échec.

En fait on se défend de la culpabilité. Et il n’est pas question d’être coupable de quoi que ce soit !

Quand on est coupable on est faible et faillible aux yeux des autres. Et de nous même. C’est une remise que question de notre valeur, notre compétence, de qui nous sommes. Et cela, notre égo ne peut pas l’accepter.

Du coup, nous avons développé des mécanismes de défense qui vont nous permettre de sortir du feu des projecteurs.

Postures adoptées

La première, c’est la posture de victime : quelqu’un a commis une erreur ou quelque chose a un défaut. De notre côté, on n’est qu’un pion qui a eu le malheur de se trouver au mauvais endroit, au mauvais moment. On n’est que la malchanceuse victime d’une conspiration qui nous dépasse complètement.

La rébellion : on crie, on s’insurge de ce qui se passe. Comment on aurait réagi si on avait su, pu,… Au final, c’est une variante de la victime avec plus de puissance vocale.

Bouder : et puis, il y a ceux qui se renferment. Qui vont dans un coin méditer ou se faire oublier. Ils espèrent parfois que le monde vienne vers eux réparer cette chose qui les contrarie. Ceux là ne s’expriment pas sur le souci, mais ne le réparent pas non plus.

Pourquoi c’est difficile d’assumer ses responsabilités

En assumant ouvertement la responsabilité, on s’engage pour le bon déroulé des événements. On se met donc dans les conditions de prendre en charge les différents aspects d’une activité. Et on mène l’activité jusqu’au bout.

Donc, ne pas assumer la responsabilité d’une erreur, c’est en quelque sorte un aveu de manque d’investissement dans le travail ou de confiance en soi pour sa réalisation.

Chaque initiative que l’on prend dans nos actions du quotidien est un engagement à réaliser cette action jusqu’au bout. Donc à moins d’être un enfant inconscient de ce qu’on dit ou réalise, il n’y a que nous qui sommes responsables de ce qui se passe.

Oui même quand on ne sait pas tout : il ne tient qu’à nous de nous renseigner avant d’agir.

La solution

Endosser la responsabilité d’un échec, s’excuser si nécessaire, réparer puis identifier les causes et les actions que l’on pourrait mettre en œuvre la prochaine fois pour que ça se passe mieux.

A la limite, si vous voulez une posture défensive tout en assumant votre erreur vous pouvez utiliser l’autodérision : “Bon sang ! Quel maladroit je suis !”

Prendre la responsabilité permet de prendre conscience d’une difficulté. Ainsi, il est possible de mettre en place des solutions de contournement ou de se former pour s’améliorer.

S’excuser permet de prendre en considération le sentiment des personnes blessées par l’évènement et les rassurer sur sa réparation.

Réparer afin d’éviter un suraccident : quand je renverse le contenu d’une casserole, je nettoie avant que quelqu’un ne glisse dessus.

Identifier les causes permet d’avoir une alarme interne qui se met en route quand on reconnait la situation. Pour ma part, je sais que je vais vite quand je cuisine. J’ai donc appris à repérer les poignées de casseroles qui dépassent du comptoir avant de les renverser.

Identifier les actions (et les mettre en œuvre) : j’ai pris le réflexe de toujours tourner les poignées des poêles et casseroles vers l’intérieur pour éviter de les renverser.

En conclusion

La quête de la perfection est plus que présente partout. Cette recherche est exacerbée par tous les réseaux sociaux qui dénoncent toute erreur et mettent en valeur la perfection.

Or, nos erreurs sont nos expériences. Et justement, quand on en commet, c’est une opportunité de s’améliorer.

Les meilleurs dans leur domaine ont bien commencé un jour. Donc dans notre recherche à constamment à montrer que l’on n’a pas de failles, on n’ose rien, on n’expérimente plus rien. Et on réduit nos chances d’exceller un jour où que ce soit.

Tous les plus grands leaders, sont des personnes qui assument leurs responsabilités.

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